Firiadel marchait tête baissée...sa compagne s'est enfuie avec les yeux pleins de terreur,comme...si elle était emportée contre sa volonté et qu'elle s'était enfuie. Il avait la larme a l'œil mais son cœur devait rester de pierre au maximum. Il s'en allait donc de la rue des riches pour se diriger au centre commercial et faire quelques emplette en ce bel après-midi. Il voulais aller au magasin de musique et y jeter un petit coup d'œil mais il ne pu s'empêcher de passer dans un bureau de tabac et acheter le canard du coin. Des meurtres dans la ville,la mafia qui est toujours présente et effrayante,la police est débordée...Bref des journalistes soudoyés pour raconter dans leurs canard ce qu'on leurs dit pour avoir ce qu'ils attendent,de l'argent donc. Dans un sens c'est presque le principe du journalisme,sauf que ça viens pas vraiment de la bonne tête les idées qui sont mises dans le journal. Ce qui ne saute peut être pas aux yeux des imbéciles heureux, saute aux yeux de Firiadel et sans aucun soucis d'ailleurs étant donné qui tout ce venin de mensonge lui pesait lourds dans le ventre et agressait ses yeux et semblait entendre la mécanique rouillé et mal entretenue d'un tracteur bas de gamme.
Après ceci il reposa le journal,adressa un sourire au mec qui tenais le bar , qui le lui rendit mais un peu jaune tout de même. Ensuite il sortit d'un pas décidé et se dirigea vers le magasin de musique. Il salua le propriétaire et se jeta sur les albums du moments,mais il n'y avait rien d'intéressant pour le moment. Il passa a l'étage supérieur et il commença a regarder les guitares inlassablement.
Certaines étaient belles,d'autre moins, certaines avait une grande marque,d'autre semblaient anonyme, certaines était chère,d'autre semblaient gratuite,certaines lui allaient a la perfection, d'autre pas tellement que ça. L'odeur du bois et des cordes rentraient dans ses narines pour venir jusqu'à ses poumons et diffuser tout cette fraîcheur dans tout son être,le ressentir jusqu'au bout des pieds et pouvoir sentir avec les yeux,qui étaient grands ouverts en passant. Oui c'était vraiment un pur moment de bonheur que d'imaginer les guitares sur lui,ou même de es regarder tout simplement,et admirer la beautés de la chose. Et il les aimaient toutes,quelles soient classiques,folk ou électriques. Il avait décidé de rester ici,jusqu'à s'en lasser a en mourir.
Deux heures plus tard il était toujours a l'étage d magasin et sorti de sa brume rêveuse pour revenir a la réalité. Toutes les guitares qu'il rêvaient était trop chères pour lui,mais c'étaient les meilleurs du magasin en même temps,et les plus belles a son goût. Il sorti du magasin avec un grand sourire et continua sa route vers...on ne sais ou,ou vers on ne sais qui...